La Guyancourtoise Virginie Deniau anime depuis plusieurs mois des ateliers écologiques et économiques au sein du centre social du Pont du Routoir, en parallèle de son activité professionnelle.
C’est la curiosité et l’envie de partager son savoir-faire qui ont amené Virginie Deniau à proposer à la Ville d’animer des ateliers de fabrication de produits du quotidien durant son temps libre.
« J’ai perpétuellement envie de découvrir de nouvelles choses. Je fais donc régulièrement des recherches et si je sens que j’ai les capacités de faire quelque chose, je me lance. C’est comme ça que je me suis mise il y a quelque temps à fabriquer des produits naturels. Participant depuis plusieurs années à des ateliers proposés dans les maisons de quartier de la ville, j’ai donc proposé mes services », confie celle qui habite dans le quartier du Pont du Routoir depuis plus de 20 ans.
« Je partage tout ce que je fais sur mon compte Instagram »
Depuis le mois de janvier dernier, Virginie délivre donc ses petits secrets de fabrication lors d’ateliers ponctuels organisés au centre social du Pont du Routoir.
« Depuis l’an dernier, je partage tout ce que je fais sur mon compte Instagram. Après un échange avec l’équipe du centre social l’automne dernier, j’ai animé mon premier atelier en janvier dernier. »
Kirigami (art du papier découpé et plié), fabrication de lingettes désinfectantes lavables et réutilisables, d’éponges grattantes au crochet (type d’aiguille munie d’une encoche à l’une de ses extrémités permettant de retenir le fil avec lequel il est possible de réaliser divers ouvrages), de produit lave-vaisselle… Les idées ne manquent pas.
« Sur Instagram, je propose en parallèle des recettes ou encore des conseils de couture. »
Les participants contents de leurs créations
La maman de deux jeunes adultes de 24 et 26 ans propose ces activités, tout en continuant son activité d’auxiliaire parentale et d’aide ménagère.
« J’apprécie beaucoup de pouvoir partager avec les personnes qui participent à mes ateliers. À chaque fois, elles sont entre 5 et 8. Ma plus grande satisfaction est de voir qu’elles sont contentes de leurs créations lorsque je les revois », sourit-elle.
À partir de la rentrée scolaire, la Guyancourtoise souhaiterait ainsi poursuivre l’aventure.
« Cela reste à définir avec l’équipe du centre social. Des personnes m’ont notamment demandé d’animer des ateliers crochet. »